J’ai testé l’Euro 2016.

L’Euro 2016, c’est quoi ?

Stef :

Au départ, j’ai vu cela comme l’occasion de faire un ou plusieurs cadeaux à mon amoureux. J’ai tenté ma chance à ces fameux tirages au sort en croisant les doigts très fort pour que ce quarantième anniversaire soit pour lui assez sympa et finalement, il restera je l’espère inoubliable.

C’est un partage inégal de la télé, un abonnement inutile à une chaîne spécifique, parce que tu comprends, là les commentaires sont mieux… Un mois interminable d’un programme qui te donne l’impression de regarder un truc en boucle et qui dure, qui dure,…

Mais, c’est aussi la première fois pour moi que je goûte à l’ambiance des grandes rencontres de foot, assez plaisante j’avoue –enfin surtout – avant le match, autour du stade et à chaque but.
Sinon, bon, comme je ne suis pas fan de la foule, des mouvements de foule plus exactement, c’est aussi beaucoup de stress.

C’est au final des étoiles plein les yeux de mon homme et dans les miens du coup !

 

Karim :

Ça commence par un espoir. Celui d’aller voir ne serait-ce qu’un match. N’importe lequel. Même un Hongrie-Islande ou un Roumanie-Albanie. Mais il faut en être.Faire partie de la fête qui va se dérouler ici, chez nous, en France.

Puis c’est une attente. Celle du tirage au sort. Pour moi mais aussi pour tous mes potes belges puisque nous avons tous commandé un maximum de places dans l’espoir d’en décrocher quelques-unes.
Vient la déception : pas une seule place. Pour aucun d’entre nous. Chou blanc sur toute la ligne…
Ensuite c’est l’euphorie. Pour mes 40 ans, ma chérie a tenté sa chance. Jackpot : elle a eu toutes ses demandes. Et quelles demandes : un quart de finale, les deux demies et… la finale !

Wheelchair Power !!

Seconde attente. Qualification des Diables. Re-espoir. Tirage au sort des groupes. Lecture du tableau final. Bingo : si les Belges terminent premier de leur groupe et passent leur 8ème de finale, on les verra en quarts à Bordeaux !
Oui mais…

Football, bloody hell !