C’est quoi un tue-l’amour?

A cette question existentielle, l’internaute.com me donne comme réponse la définition suivante:

Tue-l’amour:

Un tue-l’amour est une caractéristique physique, comportementale ou sensuelle qui enlève instantanément toute pensée aphrodisiaque, coupe tout désir sexuel ou tout rapprochement physique et affectif.
Exemple : Sa vieille culotte trouée est un véritable tue-l’amour.

Ok. D’accord.

Donc en résumé, si j’y pense deux secondes, un tue-l’amour c’est quelqu’un qui pourrait faire différentes choses comme:

  • Dormir la plupart du temps avec ses chaussettes.
  • Porter même sous la couette un T-Shirt ET un sous-pull, et ce, en automne, en hiver et un peu au printemps… Une bonne partie de l’année donc.
  • Porter parfois souvent une culotte type protection qui peut retenir les petites fuites au cas où. Comprendront beaucoup de personnes en fait. Je pense à mes copines enceintes, celles qui viennent d’accoucher, celles qui ne maîtrisent plus ou pas tout, celles à qui le temps qui passe ne fait pas de cadeau, etc. Et bien qu’on en fasse maintenant de jolies avec des petites fleurs, sois disant discrètes, ça reste un réel obstacle à toute sensualité, celle qu’on voudrait spontanée en tout cas!
  • Ne pouvoir s’endormir qu’avec la couette d’hiver plus une couverture en pilou sur le dos, le cou et le haut de la tête. Quand ce n’est pas en disparaissant complètement sous cet amas de chaleur. Et gare à celui qui osera faire passer un tout petit peu d’air frais en soulevant ne serait-ce que d’un centimètre ce côté de couette!
  • Dormir la bouche ouverte parce que ces foutus pollens empêchent de respirer par le nez.
  • Et qui dit dormir la bouche ouverte, dit baver un peu. Surtout si on a regardé Top Chef la veille et que du coup, on s’endort avec des images de bonne nourriture plein la tête.
  • Ronfler un peu à cause de ce fichu nez bouché.
  • Se réveiller la bouche sèche, pas super fraiche il faut bien l’avouer.
  • Se lever, enfiler son pull, son écharpe, mettre sa capuche, trainer une bonne partie de la matinée dans son bon vieux legging ou bas de sport.

J’ouvre les yeux.

Je fais face à une réalité Ô combien gênante, horrible, criante de vérité, désespérante…

Bon sang! Mais c’est moi! JE SUIS UN TUE-L’AMOUR!